Une chanson intitulée du nom de ceux qui ont parfois été pointés comme étant à l'origine de la crise sanitaire.
Cette crise a amené des mesures dont certaines avec le recul sont questionnables voire irrationnelles, surtout quand elles touchent des enfants un plein développement.
Raymond se remémore et se met à la place d'un petit écolier qui essaye avec ses copains d'analyser ce qui se passe avec sa grille de lecture insouciante.
Comme pour espérer, mais sans trop y croire, que les enfants aient vécu cette période comme un grand jeu tout en redoutant les conséquences potentielles, Monmix a choisi une structure en deux temps. Une première partie avec une mélodie simple et un arrangement inspirant une forme de légèreté. Et dans un deuxième temps, l'ensemble du texte est déclamé pour dénoncer ces mesures potentiellement traumatisantes dont les séquelles pourraient être massives.
Quand ça a commencé, on était confiné
On a crié youpi ! L'école c'était fini.
On a dû déchanter, on est resté cloîtré
On a fait nos devoirs et appris nos leçons
Mais c'est une autre histoire quand c'est à la maison.
Pangolin, pipistrelle, Au pays des pandas
Le virus bat des ailes, Corona on t'aura ! (bis)
Nous faisions attention tout en nous protégeant
Y avait des solutions pour bien passer le temps
Notre imagination aidée par nos parents
Ouvrait des horizons grâce à nos enseignants
Ce n'était pas trop long mais quand même contraignant.
Pangolin, pipistrelle, Au pays des pandas
Le virus bat des ailes, Corona, on t'aura (bis)
Et puis vint la rentrée, une rentrée bâtarde
Il fallait respecter une distance entre nous
La maîtresse faisait cours. Avec les camarades
On s'étonnait du fait qu'elle porte un masque chelou.
Pangolin, pipistrelle, Au pays des pandas
Le virus bat des ailes, Corona, on t'aura (bis)
La la la la la la, La la la la la la
La la la la la la, La la la la la la
etc, etc...
30 Mars 2024 from "Tomahawk” Lyrics by Raymond Valcke /Music by Monmix